28.3.06

Rhaaa Lovely bientôt sold out !

On me signale qu'il ne reste plus que 60 places pour le
N'oubliez pas de réserver, si ce n'est déjà fait!

21.3.06

Prendre/Donner

L'Homme est un animal social, on commence à le savoir. Certains plus animaux que sociaux, c'est à n'en pas douter. Et moi dans cette masse, je me reconnais.

Animal pour sûr, je suis malheureusement et irrémédiablement conditionné par mon environnement social. Ceci a pour conséquence mon incapacité à vivre reclus, mon besoin constant de m'attirer la sympathie des gens, mais surtout cette affreuse faiblesse qu'est l'amour. Je parle de cet amour inconditionnel des choses et des "gens". Ce qui peut paraître risible à première vue n'est autre qu'une facette de nos comportements, car j'aime penser que je suis loin d'être le seul à appréhender le monde de la sorte. Alors forcément, les baffes volent à tout bout de champ, parce qu'évoluer de nos jours dans ce monde avec de l'amour à revendre, ça fausse le regard, on perd de l'objectivité, on a pas assez de recul. C'est le principe (et le problème) des à priori, c'est difficile de faire autrement mais ça va déterminer nos premières réactions avec l'autre. L'optimiste considère que toute situation prête au plaisir et à de bonnes choses, mais a tout de suite l'air d'un idéaliste naïf face à certaines constantes. Il prend une claque mais se relève. Et ce rituel il peut le vivre tous les jours. Le pessimiste quant à lui n'est que rarement déçu, et quand bien même, la déception est devenu son mode de satisfaction. Évidemment, puisqu'il part du principe qu'il faut un a priori négatif sur tout ce qui l'entoure. Quand la vie confirme ses craintes ou ses prédictions, le pessimiste est réconforté de voir qu'il a eu bien raison de penser de la sorte, et cela prouve qu'il était dans le bon et le conforte dans sa position. Si d'aventure la vie qui s'offre à lui n'est pas aussi noire qu'il se la décrit, il aura eu tort, mais au bénéfice d'expériences agréables, qui auront vite fait de lui faire oublier son état d'esprit... Le pessimiste est un opportuniste, l'optimiste aussi en fait, mais avec un genou à terre. La différence réside probablement dans la capacité à donner ou recevoir des claques ! Et l'amour dans tout ça me direz vous ? Il est partagé entre les personnes qui ont besoin d'en donner et celles qui en réclament. Vu qu'il est très difficile de s'apporter de l'amour (sauf, comme dirait Woody Allen, pour la masturbation, qui est le moyen d'avoir l'assurance de faire l'amour avec quelqu'un qui vous connait et qu'on apprécie), on est dépendants des autres, tous camés et en manque pour beaucoup d'entre nous, donc on se sociabilise, on entretient des relations, on cherche à être aimés. Je remercie la nature de nous avoir créés, nous autres êtres si faibles, trop occupés à penser nos relations qu'à les vivre. 90% des stimulations du plaisir sont fournies par le cerveau, c'est notre zone érogène la plus développée, un point G monumental, qu'on ne me dise pas qu'on ne l'a pas trouvé ! Et pourtant, ici aussi les gens ont parfois bien du mal à le manipuler. Dommage. Moi par exemple, je termine doucement ma branlette intellectuelle, et pourtant je ne me sens pas mieux, je ne suis pas envahi par mes précieuses endorphines, que du contraire. Comme quoi, au lieu de perdre du temps à écrire ces lignes j’aurais mieux fait de partager mes opinions avec un optimiste…

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16.3.06

Et le silence est entendu

"On est comme si on était à Bourges ou à Montluçon, on est en province c'est à dire qu'on entend les cloches le matin. Et disons, la cloche fait le silence.
C'est quelque chose de très important, en tous les cas pour moi, parce que ce silence qu'on invoque partout, dans tous les arts finalement y compris la poésie, il faut bien le faire. Souvent dans les studios on entend "taisez-vous tous on va prendre un peu de silence." Comme s'il suffisait de passer avec un appareil à prise de son pour engranger le silence. Alors là je dis non, pas non à la technique, non en ce sens que le silence il faut le faire. Alors ce silence, ça va être quelque chose comme, dans un matin de campagne, là-bas (et on ne sait pas d'où, par exemple un village qu'on a pas bien vu) la sonnerie des cloches de l'église se font entendre. Je dirais que les cloches tout à coup égrènent le silence, le silence est égrené, du coup le silence est entendu. Il est entendu à la fois comme l'intervalle entre et en même temps ce qui entoure cette sonnerie.
Donc je prends ça comme une opération minimale de faire le silence. Le faire c'est bien évidemment le poiei, le poieites, donc j'insiste dans cette formule "il faut faire silence" sur le côté comment faire le silence."
As heard on --> Car Crash - Et le silence est entendu

13.3.06

De Coluche

"Quand on pense qu'il suffirait que les gens n'achètent plus de saloperies pour que ça ne se vende pas !"
"La moitié des hommes politiques sont des bons à rien. Les autres sont prêts à tout. "
"Le syndicalisme est à la société moderne c'est que le mercurochrome est à la jambe de bois."
"Un pays neutre, c'est un pays qui ne vend pas d'armes à un pays en guerre. Sauf s'il paie comptant."
"Les journalistes ne croient pas les mensonges des hommes politiques, mais ils les répètent ! C'est pire !"
"Les technocrates, si on leur donnait le Sahara, dans cinq ans il faudrait qu'ils achètent du sable ailleurs. "
"L'intelligence, c'est comme un parachute, quand on n'en a pas on s'écrase. "
"L'avenir appartient à ceux qui ont le veto. "
"On m'a dit qu'il fallait cueillir les cerises avec la queue. Je suis embêté ; j'avais déjà du mal avec les mains !"

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11.3.06

Voilà exactement 40 heures que je n'ai pas dormi. Mon corps commence à m'envoyer des signaux de détresse, ou tout du moins des avertissements...





Je pense que je vais les prendre au sérieux


Dormir!!!

9.3.06

Recette de la semaine

Aujourd'hui c'est une soupe que je vous propose, très facile à réaliser mais surtout aux parfums particuliers qui, j'en suis sûr, exiteront vos papilles que vous m'en direz des nouvelles!!

Soupe de gingembre et carottes au citron vert et à la clémentine

Pour 4 personnes:
- beurre, huile de tournesol
- 2 oignons hachés
- 1 morceau de gingembre frais (3 cm d'épaisseur) finement haché
- 500 g de carottes (4 à 6 environ) émincées
- 1 l de bouillon de volaille ou d'eau
- le jus de 5 clémentines (environ 200 ml)
- set et poivre du moulin
- zestes de citron vert et clémentine, pour servir

Dans une casserole, faire chauffer beurre et huile de tournesol (environ 2 c. à soupe de chaque) et y faire revenir les oignons. Ajouter le gingembre et les carottes et laisser cuire quelques minutes. Verser ensuite le bouillon ou l'eau et le jus de clémentine, assaisonnez. Portez à ébulition puis laisser frémir environ 20 minutes, jusqu'à ce que les carottes soient tendres (plus fine sera la coupe des carottes, plus vites celle-ci seront cuites).

Passer le mélange ( éviter de mixer à même la casserole, le rendu sera plus onctueux à la vue et sur le palais!), recueillez le liquide et mixer le contenu de la passoire avec 1 ou 2 louches du liquide, afin d'obtenir une texture veloutée. Ajoutez le reste du liquide et mixez à nouveau.

Réchauffer si besoin, rectifiez l'assaisonnement (toujours goûter avant hein!). Servez dans des bols décorés de zestes d'agrume (citron vert, clémentines, etc...)

NB: Les clémentines peuvent être remplacées par des mandarines ou des oranges. Pour ma part, il m'est arrivé de servir cette soupe avec quelques feuilles de coriandre, à noter cependant que celles-ci se gâchent vite dans la soupe car c'est une plante qui ne supporte pas la cuisson.

Cette soupe aux parfums très particuliers vous surprendra très certainement. N'oubliez pas que le gingembre est très fort et qu'il est important de ne pas surdoser celui-ci!

Le tout vous prendra 30 minutes si vous avez la main.

Bon appétit!!

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6.3.06

Pour elle

Une fille
LA fille?
2000 kilomètres nous séparent
Je vis entre parenthèses
Je me permets d'emprunter ces quelques mots
Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps

4.3.06

## Puppetmastaz ##

Ihecstival 2006


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Le temps d'une pause

Enfin!
Je suis finalement parvenu à terminer tous mes sachets de "soupe" exédentaires ramenés de mes dernières vacances à la montagne!
Je ne sais pas pourquoi les gens s'obstinent à acheter systématiquement un stock monumental de ces rations de survie...
Rien ne vaut une bonne vieille soupe